Le vin rosé d’apéritif
Il faut bien avouer que le rosé a son domaine de prédilection : l’apéritif. Une bouteille de rosé se sert en général bien frais, entre 8 et 10°C. C’est le rosé des barbecues et des vacances. Parmi les plus connus, on peut citer une appellation bien connue, les Côtes de Provence, mais aussi en Anjou le Rosé d'Anjou et le Cabernet d'Anjou, Bordeaux Clairet ou encore Bandol et le Languedoc avec les IGP Pays d’Oc et le Val de Loire. Malgré tout, plusieurs types de rosés d’apéritif existent :
Le vin rosé “Piscine”
À la mode depuis plusieurs années, c’est le petit plaisir de beaucoup d’amateurs de vins du sud de la France. Ce mode de consommation consiste à remplir son verre de glaçons avant de servir son verre de rosé bien frais. Idéal pour les jours de grande chaleur !
Le vin rosé de dégustation
Il n’y a pas qu’à Saint Emilion qu’il y a des Grands Crus !
Certains rosés sont de magnifiques vins de garde. Ils sont à apprécier avec des plats délicats et savoureux. Particulièrement floraux et d’une persistance en bouche remarquable, ils sont généralement produits sur de grands terroirs de Provence.
Le Champagne Rosé
Plus d’un château produit du Champagne rosé. On en distingue deux catégories : le champagne rosé dit d'assemblage et l'autre dit de saignée.
Le champagne rosé d'assemblage est une spécificité propre à la Champagne. Obtenu par le mélange de moûts de raisins blancs d’une part et de raisins à la peau noire d’autre part, auquel est ajoutée ensuite une faible proportion de vin rouge. C’est le seul vin de France pour lequel cette technique est autorisée.
Pour apprécier un vin rosé, chaque critère compte. La couleur de sa robe par exemple, sa région d’origine, mais, aussi, bien connaître le raisin dont il est issu ainsi que les caractéristiques de son terroir peut s’avérer utile. Cela permettra d’augmenter la qualité de son vieillissement en cave et d’affiner sa température de service.
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